Ce mercredi 1er février nous avons reçu Frédérique Bertrand, Olivier Douzou et Christian Voltz pour une table ronde jeunesse, Clara Beaudoux et François Beaune pour une table ronde autour du témoignage, et Laurent Binet pour une rencontre à la librairie La Belle Aventure.
« Comment est-ce que l’on sait que l’on est le personnage principal de sa propre existence ? » Laurent Binet
« Sans le travail des enseignants et des bibliothécaires il est possible que beaucoup de nos livres aient disparus. Pour moi c’est intéressant que d’autres s’approprient nos livres et en fassent autre chose que ce que l’on voyait. C’est important de faire des livres porte-chapeau que chacun peut mettre à sa hauteur. » Voltz
« Je choisis la jeunesse car c’est le milieu où le public a le même désir de liberté et de construction que moi. » Olivier Douzou
« Dans cette cave, il n’y a pas que la vie de Madeleine, il y a aussi notre Histoire à nous tous. » Beaudoux
« La meilleure ligne éditoriale c’est la tangente. On a des projets dérangeants, poétiques, c’est un jeu de prolonger ce qui fait l’essence de la littérature jeunesse. » Olivier Douzou
« Avec Madeleine Project, ça a été une grande liberté de ne pas rentrer totalement dans la case « Journalisme » ou « Littérature ». » Clara Beaudoux
« C’est normal qu’un adulte ou un enfant s’approprie différemment le texte et l’image par rapport à moi. Je suis la première cliente de les oeuvres, je les fait d’abord pour moi. » Frédérique Bertrand
« Le livre papier est essentiel car c’est un moyen de s’extraire du monde. » François Beaune
« Pour moi, le « Et si… » devient le point de départ de mon récit » Laurent Binet