Mercredi 6 Mars

L’intime, les relations interpersonnelles et la tendresse imprègnent les créations d’Adèle Mesones. Tant dans son travail de dessinatrice que dans son travail d’éditrice, elle partage ses préoccupations politiques, notamment féministes. Depuis 2022, elle crée une série de mini bandes dessinées, « Expériences Militantes » qui relatent des expériences de militantisme ou de bénévolat.

Vous pourrez retrouver Adèle Mesones, accompagnée d’Ariane Hugues et Lucile Ourvouai, le mercredi 06 mars à 14h00 dans la Salle des Actes, à l’occasion d’une table ronde autour des questions du collectif et des expériences militantes et féministes dans la micro-édition.

Elle jongle entre les commandes, l’écriture de ses propres histoires, l’animation d’ateliers artistiques et l’autoédition. Ariane Hugues est une illustratrice et une autrice de bande dessinée. Elle a cofondé le collectif l’Amour éditions, qui publie fanzines, livres, calendriers et autres objets graphiques en petites séries. 

Vous pourrez retrouver Ariane Hugues, accompagnée d’Adèle Mesones et Lucile Ourvouai le mercredi 06 mars à 14h00 dans la Salle des Actes, à l’occasion d’une table ronde autour des questions du collectif et des expériences militantes et féministes dans la micro-édition. 

Actuellement illustratrice de presse à Marseille, Lucile Ourvouai est une artiste engagée dans le domaine de la bande dessinée et du fanzine. Elle s’intéresse notamment à la micro édition, au female gaze et donc à la rareté du regard féminin sur le corps masculin dans le champ de la Bande dessinée. Elle est à l’initiative de deux fanzines : “L’Ennui” et “Fanatic Female Frustration”. 

Vous pourrez retrouver Lucile Ourvouai, accompagnée d’Ariane Hugues et d’Adèle Mesones le mercredi 06 mars à 14h dans la Salle des Actes, à l’occasion d’une table ronde autour des questions du collectif et des expériences militantes et féministes dans la micro-édition. 

Nicolas Miletitch est un journaliste et un auteur engagé dans les conflits russes et plus généralement de l’Europe de l’Est. Il a longtemps travaillé à L’Agence France-Presse de Moscou et de Belgrade, d’abord comme correspondant puis comme rédacteur en chef. Tout au long de sa carrière, il a couvert plusieurs conflits tels que la révolution en Roumanie, la chute du communisme en Albanie et les guerres en Yougoslavie (Slovénie, Croatie et Bosnie) et la guerre dans le Donbass plus récemment.  

Vous pourrez retrouver Nicolas Miletitch le mercredi 06 mars à 16h dans la Salle des Actes, en collaboration avec le club de langue slave.

Fondées en 1921 à Prague et installées quatre ans plus tard à Paris, Les éditions YMCA-Press sont engagées dans la diffusion du patrimoine russe. Elles ont notamment publié de nombreux intellectuels russes, expulsés du pays pendant la révolution russe, mais aussi des auteurs interdits en Union soviétique, plus tard dans les années 60. Désormais, elles assument un rôle de passerelle entre la culture russe et la culture française et souhaitent promouvoir une certaine approche de la culture russe fidèle à l’héritage de l’émigration.

Vous pourrez retrouver Les éditions YMCA-Press le mercredi 06 mars à 16h00 dans la Salle des Actes, en collaboration avec le club de langue slave. 

Professeure agrégée et écrivaine française, Marie-Hélène Lafon aborde dans ses œuvres toutes sortes de problématiques sociétales, notamment liées à l’émancipation des femmes et aux violences conjugales. Sa plume percutante est empreinte d’oralité, se mêle à merveille avec les paysages ruraux qu’elle dépeint. Elle est lauréate de nombreux prix comme le Prix du Style pour Les Pays en 2012, le Prix Renaudot 2020 pour Histoire du fils, ainsi que le grand prix de littérature de la Société des Gens de Lettres pour l’ensemble de son œuvre. 

Marie-Hélène Lafon sera présente le mercredi 06 mars à 18H30 à la Médiathèque François-Mitterrand. 

Écriture et jeu : Marion Reverdy / Mise en scène : Hélène Vieilletoile

En partenariat avec la M3Q 

“« Bonjour, J’ai bien reçu votre invitation. Je vous en remercie, vraiment. Que je vous dise, ce n’est pas une rumeur : Je suis en ville. Oui… J’ai dit que j’étais morte en 1996. Parce que, je ne voulais plus participer. Mais à présent, me re voilà ! Je serai très heureuse de vous rencontrer pour faire cette interview que vous me demandez. Ce que je vous demanderai moi, c’est qu’on se voit chez moi. Que cela reste confidentiel. Vous comprenez ? Pour les questions, ne vous inquiétez pas, je vous aiderai. J’ai encore tant à dire, à redire. Venez à l’heure dite. Avec toute mon amitié. MD. » Ce spectacle est un solo de clown et une interview exclusive de Marguerite Duras. Son ambition est de faire vivre et re-vivre, rire et re-rire, penser et re-penser Marguerite Duras !”

Représentations les mercredi 06 mars à 20h30, jeudi 07 mars à 18h30 et vendredi 08 mars à 20h30 à la M3Q.